Les intellectuels du XIXe siècle font preuve d'une grande conscience du problème de l'histoire et du problème de la langue. Giovanni Spano, né à Ploaghe le 8 mars 1803, est représentatif en ce sens.
Même à une très courte période de sa vie, Peppino Mereu écrit beaucoup : avec réalisme et satire grossière, il passe au peigne fin tous les types d'environnements insulaires, toutes les situations émotionnelles et en tir...
Né à Cagliari en 1773, Vincenzo Porru était engagé, avec d'autres intellectuels de l'époque, dans la défense et la valorisation des traditions et des spécificités culturelles sardes.
Le nom de Paolo Mossa occupe une place prépondérante dans la poésie sarde « in limba » et ses compositions sont devenues l'héritage de nombreux chœurs de ténor ou polyphoniques.
Une diffusion particulièrement significative a été l'œuvre de Melchiorre Murenu, l'aedo de Macomer (1803-1854), qui est directement issue du riche monde de la poésie « a bolu », c'est-à-dire de la poésie populaire orale...
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